ON LOVE IN SADNESS • « I did not know I was giving up »

Nothing ever hurt like you.

I . Carte d'identité

• Nom(s) :

Milesbury. Sa fierté de porter ce patronyme n'est que plus grande par la perte de ses parents.

• Prénom(s) :

Vermont, Adrien. Il tient ce beau prénom d'un état d'Amérique du Nord, où ses parents allaient passer leurs vacances, bien avant sa naissance. Adrien est, quant à lui, le prénom de son arrière grand père, homme très respecté chez les Milesbury, pour son incroyable parcours professionnel.

• Surnom(s) :

Généralement, son prénom est prononcé en entier. On peut aussi le prénommer Ver', qui mène à des blagues vaseuses "Petit ver de terre". Sinon, son nom de famille est un bon surnom, et souvent on use d'une autre abréviation "Miles".

• Date de naissance :

Vingt sept janvier 1983.

• Age :

Vingt cinq années d'expérience.

• Lieu de naissance :

Grey Elbow, Virginie, Etats-Unis, Amérique. Il n'a pas quitté la ville qui l'a vu grandir.

• Nationalité(s) :

Américaine. On lui a souvent répété qu'il avait des origines polonaises, mais il n'y a pas cru.

• Occupation :

Au delà de son autre boulot, il exerce en tant que barman dans un bar de la ville de Grey Elbow.

II . Profil psychologique

• Décrivez le caractère de votre personnage en sept lignes. Veillez à indiquer ses défauts, ses qualités.

Vermont est un homme plein de principes, élevé par des parents plutôt conservateurs. Il a toujours respecté les règles imposés à la maison, ce qui était bien le contraire à l'école. Il avait horreur qu'une autre personne autre que ses parents ne lui ordonnent quelque chose. C'est bien pour cela qu'il finissait souvent à la porte. Mais lorsque les personnes les plus importantes dans sa vie sont morts, il a radicalement changé, principalement pour sa petite sœur. Lui qui était rebelle dehors, sage à la maison, devint responsable et sérieux. Il ne prend plus rien à la légère et considère les risques avant d'agir. Il aime rire, mais néanmoins, il a les pieds sur terre; la vie n'est pas rose, tout ne tombe pas du ciel. Vermont est bosseur, un peu feignant le matin seulement. Il peut parler beaucoup comme peu, et a beaucoup de mal à faire confiance aux autres. Il a comme tout le monde ses moments de déprime, et préfère se cloitrer plutôt que embêter les autres. Il est loin d'être égoïste, et peut se sacrifier pour une personne qu'il aime.

• Sous forme de liste, en cinq points bien détaillés, indiquez nous les manies, les tics, les habitudes ; ou même les secrets de votre personnage.

• On croit toujours que Vermont a toujours été un modèle de sagesse. Lorsque ses parents sont brusquement morts alors qu'il n'avait que dix neuf petites années et peu d'expérience niveau éducation, il a cru un instant dépérir et surtout se laisser aller. Mais lorsqu'il a vu les yeux remplis de larmes de sa sœur, il s'est reprit rapidement pour elle. Rien que pour elle. En excluant les conneries qu'il avait fait dans le passé.
• Cette mort lui a ouvert les yeux. Lui qui pensait que la vie était facile, plutôt confortable et surtout agréable à vivre s'est vu propulser d'un coup de pied au postérieur dans un monde hostile et plutôt délicat à intégrer. Puis, lorsque deux êtres chers meurent, tout semble moins rose, et les responsabilités vous tombent sur les épaules comme des briques.
• Sa plus grande manie est celle de tout vouloir savoir. Il a tendance à fouiner dans le passé, à ressortir les vieilles photos dossier ou encore à vouloir tout savoir de vous. En même temps, il est extrêmement méfiant et n'accorde sa confiance qu'à peu de gens. Alors, lorsqu'il apprend que vous lui avez menti, il ne se dégonfle pas et vous affronte en face. Et souvent, ça fait très mal pour votre dignité.
• Un tic que lui reproche ses relations; chantonner un peu trop fort. Lorsqu'il est au boulot au bar, il astique le comptoir en chantant The Only Night de James Morrison. Touts les albums de cet artiste fantastique passe par sa voix plutôt jolie. Mais ça devient agaçant, car c'est devenu un réflexe et souvent, lorsqu'il faut le silence, vous pouvez entendre un fond composé par Vermont.
• Il doit obligatoirement mettre son réveil vingt cinq ans avant son heure de réveil habituel. Il a la sale habitude de traîner au lit, de se tourner et surtout de se rouler en boule dans les draps, comme s'il mourrait de froid. Il n'est pas feignant pourtant, mais aime bien garder la chaleur du matin dans son corps. Généralement, il s'enroule dans la couette et essaye de sortir du lit en évitant de tomber, et atteint la douche. Il enlève juste la couette lorsqu'il est bien sûr que la douche soit brulante.

III . Anecdotes et biographie

• Pourquoi votre personnage est-il devenu un agent ? :

Bizarrement, il ne le sait pas réellement. D'accord, sa haine devrait être fondé. Pourtant, il déteste tout ce qui touche le nom de magie. Pour lui, la magie n'est pas, et ne sera jamais une chose naturelle. Peut être cet effet contre nature qui le dérange, et le fait que certaines sorciers abusent de leurs pouvoirs. Certaines ne le contrôlent pas, d'autres oui. Dans tous les cas, ce sont des humains qui ont touchés au côté obscur. Et c'est peut être pour ça - en incluant l'adrénaline et ce manque de sentiment qu'il entretient quelques fois - que Vermont est aujourd'hui un agent, chassant tout ce qu'il ne trouve pas naturel.

• Quelle est son opinion personnelle vis-à-vis des sorciers ? :

Comme dit précédemment, une de ses motivations pour exercer ce métier est qu'il entretient une haine immense pour les sorciers. D'accord, il peut quelques fois être attendri, mais il met ses émotions de côté et essaye d'exercer son boulot du mieux qu'il peut. Il n'apprécie pas le fait que ce soit quelque part des humains au fond, et qu'il doit les exterminer pour le bien de l'humanité. Mais il s'y est fait avec les années, et son dégoût pour la race magique le pousse à continuer sur la voie de la Craving Hunt.

I . Derrière l'écran

• Surnom :

Smooke.

• Sexe :

• Personnalité sur l'avatar :

Jensen Ackles, sexy n'est ce pas.

• Comment avez-vous connu FBM :

Bazzart.

• Commentaires :

Je porte plainte pour harcélement

• Racontez-nous deux anecdotes de la vie de votre personnage. Enfance, adolescence, vie actuelle ; c'est à vous de voir. Une quinzaine de lignes pour chaque anecdote.

Dylan.

« Vermont. Vermont ? »

Un chuchotement presque inaudible réveilla le jeune homme. A ses côtés, se dressait sa petite sœur, qui accroupie à côté du lit, se tenait à quelques centimètres de son oreille. Il faillit sursauter, mais la douce odeur qu'elle émanait lui était beaucoup trop familière. Comme souvent dans le potage, il observa le doux visage de sa petite sœur alors que le réveil situé derrière elle affichait deux heures du matin. Un instant, il douta de sa santé mentale mais l'air épuisé de sa sœur le fit détonner. Il lui sourit doucement, et même s'il grognait un peu, lui répondit, gardant la voix basse qu'elle employait.

« Dylan ? Qu'est ce qu'il y a ? »

Il crut un instant qu'elle pleurait, mais il se frotta les yeux, alors qu'elle tripotait le drap en parlant.

« Je peux dormir avec toi ? »

Désarçonné par sa question, il souleva la couverture qui trônait sur lui. Naturellement, il lui laissa une place près de lui, et elle s'y faufila, se blottissant contre son grand frère. Vermont placé derrière elle, posa sa main sur la sienne. Dernièrement, leur vie n'avait pas été toute rose. Aujourd'hui, ça faisait six mois que leurs parents les avaient quittés. Six mois jour pour jour, mais Vermont préférait ne pas y penser. Apparemment, Dylan faisait le contraire. Il serra dans ses bras sa petite sœur, et posa sa tête au coin de son cou. Il voyait très bien qu'elle ne dormait pas. Elle prit alors la parole, à nouveau.

« Tu penses à eux, quelques fois ? »

Il ne fut pas choqué par la question, il savait parfaitement ce qu'elle pensait. Vermont avait tout pris sur les épaules depuis leur disparition, se contentant d'être le grand frère modèle qui prend soin de sa petite sœur. Il en avait totalement oublié de laisser ses émotions sortir. A leur enterrement, les larmes avaient coulés alors que lui & Dylan se serraient. Mais maintenant, il se montrait fort, beaucoup trop fort et sans faille. Alors qu'il était exactement le contraire. La main qui serrait celle de sa sœur, vint caresser le visage de sa petite sœur. Il fut submergé un instant par des vagues immenses de manque, et il soupira doucement.

« Tout le temps, Dylan, tout le temps. »

Billie.

« Je suis censé décrypter quoi de "Je ne pense pas qu'on puisse continuer" ?

Il se sentait mal, très mal. Billie le dévisageait, et il se tenait juste face à elle. Elle avait lâchée une bombe comme ça, sans le préparer. Elle ne pouvait pas le lâcher, alors qu'il en était irrémédiablement amoureux. Il doutait de tout en ce moment. De la vie, de l'amour, de la mort. La belle brune croisa les bras sur sa poitrine, et ne semblait pas décidé à lui répondre. Alors, les yeux perdus de tristesse, il lui implora de répondre.

« Réponds moi, Billie. »

La jeune femme, se tenant devant elle, s'approcha. Il baissa la tête, dépité. Il ne pouvait pas la quitter, elle n'avait pas le droit de le laisser. Il faisait de son mieux chaque jour pour qu'elle se sente bien, mais apparemment ca n'était pas assez.

« J'ai l'impression que .. tu ne t'inclue pas dans ce "nous". »

Il resta consterné. Il ne voulait pas qu'elle parte, loin de lui, loin d'eux. Il voulait qu'elle reste là, près de lui. Il avait besoin d'elle, même s'il ne le disait pas. Il essayait de son mieux de lui faire comprendre, mais apparemment, elle n'y arrivait pas. Vermont se sentait bête, là, devant elle. Un handicapé des sentiments aurait fait mieux. Il fallait qu'elle comprenne qu'il avait du mal à donner sa confiance. Ça ne faisait que trois mois qu'ils sortaient ensemble. Il ne se livrait pas beaucoup, de peur qu'elle ne le trahisse. Ou qu'elle ne parte. Comme ses parents. Il avait toujours une pensée fatale. Qu'on allait le quitter brutalement, du coup, il ne pouvait pas s'attacher. Avec Billie, ca avait été naturel

« Tu veux qu'on arrête ? Je ne suis pas d'accord, mais pour toi, j'arrêterais. »