BIGGS; Sadig. • Unnecessarily Critical.

When it gets cold outside and you got nobody to love
You'll understand what I mean when I say
There's no way we're gonna give up

BIGGS; Sadig. • Unnecessarily Critical. R8romv

BIGGS; Sadig. • Unnecessarily Critical. R8romv

by curiositys_sin.lj

&& carte d'identité

• Noms :

BIGGS.

• Prénoms :

Les parents du jeune homme décidèrent de ne pas se conformer à leur propre culture lors de la naissance de leur fils unique, et plutôt de l'affubler d'un prénom typiquement américain, ce qu'ils jugent ennuyeux, ils se mirent d'accord sur quelque chose de plus exotique, soit Sadig.

• Surnoms :

Peu nombreux sont les gens qui interpellent le jeune homme autrement que par son prénom, qui d'ailleurs, se prête très peu aux sobriquets, et si c'est le cas, ils se contentent généralement de son patronyme, soit Biggs. Cependant, on n'arrivera jamais à calmer Billie, qui s'obstine depuis près de vingt ans à le surnommer Bibi.

• Date de naissance :

Un certain dix-sept mars de l'année 1986.

• Âge :

Le jeune homme est âgé de vingt-deux ans.

• Lieu de naissance :

À Grey Elbow, en Virginie, aux États-Unis d'Amérique. Il y vit d'ailleurs toujours et n'a pas du tout l'intention de déménager un jour.

• Nationalité :

Américaine, seulement, mais son père lui a légué quelques origines russes.

• Occupation :

Bien soucieux de garder sa couverture, Sadig eut bien vite le besoin de se trouver un métier pour couvrir son statut de sorcier. Très peu désireux de s'engager dans de longues études, qu'il juge inutiles, il se décida à devenir barman dans une des discothèques les plus populaires, the Ghost Shadow. Il adore son emploi qui lui permet de rencontrer pleins de gens, tous plus intéressants les uns que les autres, et les meurtres de sorciers qui eurent lieu à l'endroit ne l'on pas effrayer, au contraire.

&& profil psychologique

• Caractère :

Sadig ne vit que selon une seule devise. « Vivre et laissez vivre. » Il a une passion qui rythme sa vie, celle de vivre sa vie comme il l’entend, en subissant le moins de contraintes possible et en profitant au mieux du temps qui passe chaque jour. Il n’a absolument rien à faire des qu’en-dira-t-on, il fait continuellement fi des conventions et affiche volontiers une tendance à l’anarchisme, au refus de se plier aux règles. Son comportement non-conformiste prend souvent des allures de provocation. Il se plait dans la marginalité, il aime à ne pas agir comme les autres, à être original jusqu’à l’excentricité. Si quelqu’un aurait la prétention de le diriger, de le soumettre à quelconque régulation, de l’enfermer dans un carcan rigide, ce quelqu’un risque d’être fort déçu, car Sadig est bien trop indépendant pour ce laisser faire. Surtout, il n’est pas de ceux qui se prennent trop au sérieux. Son sens de l’humour est poussé à l’extrême. Il sait se moquer de tout et de tous, et tout spécialement de lui-même. Il est, aux yeux de certain, un individu plutôt immoral, mais en réalité, il n’est qu’amoral et heureux de l’être. Tout autant que le besoin de préserver son indépendance, il faut aussi noter son désir de se singulariser. Cette volonté de se séparer de la foule peut se manifester très tôt et de mille et une manières, ce qui explique les outrances de langage, les allures qu’on pourrait qualifier de provocantes, un comportement souvent déroutant pour l’entourage. Il cherche bien sûr la sympathie et la compréhension des autres. Il est sincère, a de la grandeur d’âme et le sens de la solidarité. Il a surtout une certaine aisance avec ses contacts, évitant autant que possible tout affrontement direct. Le plus saillant dans son caractère est sans aucun doute sa grande tolérance. Il ne cherche jamais à imposer ses attitudes, ses idées, ses convictions. Il fait preuve d’une grande souplesse et d’une grande compréhension des faiblesses d’autrui. D’aucuns pourraient l’accuser de laxisme, surtout lorsqu’il est investi de certaines responsabilités, mais il se défend en disant qu’il respecte la liberté de chacun. Jeune homme très intraverti, Sadig est un bon vivant. Il adore passer du temps de qualité avec les gens, se plait dans la compagnie de gens intéressants et s’amuse à charmer les demoiselles sur son chemin. Son désir constant d’indépendance l’empêche cependant de se concentrer sur une relation, et de s’y engager, et son côté parfois insolent repousse certaines personnes. Il aime agacer son entourage, à la taquiner, mais il y tient beaucoup, et serait prêt à faire n’importe quoi pour les membres en faisant parti. Il est plutôt difficile à cerner, mais une fois que vous l’avez apprivoisé, il est un jeune homme extraordinaire, très gentil, attentif et surtout, attentionné.

• Les cinq choses que vous devez savoir :

- Très tôt dans sa vie, les parents du jeune homme lui apprirent qu’il ne devrait jamais se fier uniquement à ses dons. Certains auraient tendances à croire que de si grands pouvoirs pourraient assurer une certaine longévité, si ce n’est l’immortalité, mais c’est tout le contraire. Avec les agents de la Craving Hunt constamment à leurs trousses, les sorciers se doivent d’être lucides et éviter de se faire croire qu’ils sont intouchables. C’est pour cela que Sadig maintient un mode de vie très sain. Il court chaque matin deux kilomètres, s’entraîne beaucoup dans les salles de sport, boit beaucoup d’eau et du jus d’orange le matin pour l’apport en vitamines, dors un maximum d’heures chaque nuit et ne fume pas. Son seul vice serait peut-être les bières un peu trop quotidienne avec ses amis, particulièrement lorsqu’il est de service à la discothèque.
- Il est très possiblement le pire ennemi de l’amour de l’ordre de Billie. La jeune femme est d’ailleurs la seule raison pour laquelle il ne vit pas dans une véritable porcherie. Sadig, qui a longtemps vécu avec sa chère mère derrière lui pour le ramasser, n’a pas développé certains réflexes pourtant bien utiles dans la vie, comme celui de mettre son ligne sale au lavage et de laver la vaisselle. Or, cette nature bordélique est littéralement confrontée à celle de sa colocataire, qui va jusqu’à placer les pochettes de ses CDs en ordre alphabétique. Il va s’en dire que de nombreuses discussions violentes ont débouchées d’un pantalon roulé en boule sous le coussin d’un sofa et d’une brosse à dents retrouvée avec les fourchettes, mais les deux colocataires se supportent tout de même, et que le jeune homme est reconnaissant que quelqu’un soit là pour nettoyer un peu derrière lui. Il le prouve parfois en rendant quelques services à Billie, mais depuis qu’il ait fait rétrécir ses pantalons préférés, ces petits services ne doivent pas avoir à voir avec le lavage.
- Sadig joue de la guitare depuis l’âge de neuf ans, âge auquel il reçu le précieux instrument en cadeau, de la part de Billie. Véritable autodictate, il apprit à en jouer par lui-même, à force d’écouter ses artistes préférés. Dès quatorze ans, il composait lui-même ses chansons et s’accompagnait, ayant découvert, à peu près en même temps que son talent pour la guitare, un pour le chant. Depuis, il est souvent celui qui met l’ambiance aux fêtes, et aux feux de camp, jouant pendant toute la soirée sans se fatiguer. De plus, il lui arrive parfois de faire des petits concerts dans des bars locaux. Cependant, le jeune homme n’envisage pas une carrière dans la musique, il joue simplement pour le plaisir et ne voudrait pas voir sa passion devenir un travail.
- Sadig n’est pas un jeune homme aux milles secrets. Sans que la planète entière soit au courant de tous les détails de sa vie privée, il ne cherche pas à camoufler des choses, et n’a donc aucune erreur de jeunesse, faute inavouée ou squelette dans le placard. Il est très sincère dans ses actions, et son entourage est très probablement au courant de ses hauts, comme de ses bas. Cependant, une chose qu’il ne saurait pas avouée, pas même à lui-même, c’est qu’il refuse de s’attacher par peur. Il clame que c’est pour préserver son indépendance, et parce que de se mettre une demoiselle sur les bras seraient trop de travail, et qu’il n’a pas envie de se construire un calendrier pour se rappeler chaque anniversaire, mais c’est faux. Il a peur de s’attacher car il sait qu’il ne pourra pas être constant dans cette relation, et il n’a pas envie que personne ne vive ce que sa mère a vécut. Il n’a pas envie que son statut, son pouvoir l’empêche d’être toujours là pour une personne, et voir cette dite-personne souffrir par son absence, par ses actions parfois impulsives à cause de la Craving Hunt le ferait lui-même souffrir. Il préfère donc rester libre, et ainsi, éviter de décevoir quelqu’un, et de ce décevoir lui-même. Il refuse de devenir comme son père.
- Pour ce qui est trait des manies du jeune homme, elles s’étendent sur plusieurs niveaux. Autrefois, il se rongeait constamment les ongles, mais à arrêter à vingt ans, lors d’une résolution prise au nouvel an. Sinon, il se passe constamment la main dans ses cheveux, tout en s’assurant de garder cette coiffure décoiffée, qu’il veut désinvolte, mais, comme pourrait le témoigner Billie, est travaillée chaque matin. Il pianote toujours ses doigts sur la table, lorsqu’il parle au téléphone, lorsqu’il patiente ou lorsqu’il est très impliqué dans une conversation, et toujours, sans s’en rendre compte. Il chantonne du matin au soir, et à toujours en sa possession un carnet dans lequel il note ses idées pour de nouvelles chansons. Pour ce qui est de ses pouvoirs, il s’entraîne dès qu’il le peut à perfectionner ses habiletés. Il arrive maintenant à se téléporter à de très grandes distances, et prend ainsi par moment quelques jours de congé en Thaïlande ou à Paris. Il arrive aussi à se déplacer avec des objets, pouvant aller jusqu’à cinquante livre, et d’une taille pour qu’il puisse les prendre dans ses mains. Cependant, son plus grand défi, est d’arrivé à téléporter quelqu’un avec lui. C’est un donc qu’il aimerait maîtriser, or, il sait le danger de cette pratique, et hésite à faire des tests, de peur de démembrer la pauvre victime qui lui sert de cobaye à son entraînement.

&& derrière l'écran

• Surnom :

Lexie.

• Sexe :

Roh, si vous insistez.

• Personnalité sur l'avatar :

Jackson Rathbone.

• Comment avez-vous connu FBM :

Par Bazzart.

• Commentaires :

Superbe contexte & magnifique design !

HAAA CRAQUELIN. han

CRACOTTE.
Tu as vu, je suis un homme sexy.

Duh, on s'est gourées. ptdr

C'est l'émotion. Laughing

Tu es Cracotte et je suis Craquelin. cla

J'te préférais en Dave, Jackson je le laisse sans soucis. pia

Voilà, l'intensité des retrouvailles nous a fait perdre nos moyens.
Je le savais, évidemment.
Ça veut dire que tu ne veux pas de lien ?
En plus, ils ont le même pouvoir !

Pauvres petites choses que nous sommes. Laughing

Fallait me le dire alors. mdr

Mais bien sûr que si. koeur

Tellement à plaindre.
Mouais.
Alors je te MPotte.

&& anecdotes et biographie

• Anecdotes : Un petit craquement vint déranger le silence absolu de la pièce, complétement plongée dans le noir ; l’obuscurité s’étendait au-delà des murs, du plafond, du plancher, semblait s’insinuer sur chaque centimètre carré de la chambre. Tout était calme, il ne semblait ne pas avoir âme qui vive dans la pièce, et pourtant, une voix moqueuse vint rompre cette atmosphère confinée.

« Bilou ? »

On devina, au fond de la pièce, comme un murmure, des bruits de froissement de draps, rien de très précis. Cependant, la personne à la voix moqueuse était déçue de se manque de réponse, car de nouveau, elle s’éleva dans l’obscurité.

« Bilou ? BILOU ? »

De nouveau, ces bruits confus de froissement de draps, un petit murmure, peut-être une intonation un peu brusque, peut-être même fâché, mais rien de concluant. Alors, avec un sourire accroché sur le visage, Sadig s’approcha de nouveau un peu plus près du grand lit.

« BILOU, BILOU, BILOU, BIL…! »

Une tornade de boucles brunes le percuta et l’envoya sur le dos. Riant de bon cœur, le jeune homme regarda sa meilleure amie de toujours, penchée à quelques centimètres de son visage le fixer avec des yeux haineux.

« SADIG BIGGS ! Tu as le don de me mettre d’une humeur excécrable dès… sept heures du matin ! »

Avec un sourire, le concerné haussa les épaules.

« Rise and shine, Little Miss Sunshine ! »
« Tu me fais chier Bibi. »
« Je t’aime Bilou. »

Et avec ce petit craquement, de nouveau, Billie disparue. Moins de deux secondes plus tard, on entendait la cafétière se mettre en marche, et déjà, une odeur de pain grillé s’élevait de la charmante pièce. Avec un sourire, Sadig se retourna sur le ventre, et un craquement plus tard, il se trouvait dans la cuisine à son tour.

« J’ai entendu une théorie comme quoi les tartines des autres sont toujours meilleurs que les nôtres… »

Raconta Sadig, alors qu’il s’approchait du grille-pain.

« Bibi, je t’avertis, ne t’avise pas de toucher à mes… »
« Trop tard ! », s’écria le jeune homme, la bouche pleine.

Il disparu en riant alors qu’une serviette de table roulée en boule allait l’atteindre.

***

« Bonne soirée Biggs, prend-soin de toi ! »
« À demain les copinos ! »

Avec un sourire, Sadig salua tous ses coéquipiers de travail, et en chantonnant pour lui-même sa nouvelle composition, il se dirigea gaiment vers sa case, où il prit sa guitare et son sac à dos. Passant une main dans ses cheveux tout en se jetant des regards de Don Juan dans la petite glace accrochée contre la paroi du casier, et toujours convaincu de son charme irrésistible, il rassembla ses effets, enfila un veston de cuir et glissa ses lunettes de soleil devant ses prunelles azurées. Chantonnant toujours, il sortit par la ruelle derrière la discothèque où il travaille, the Ghost Shadow et enteprit de se rendre chez lui, où il serait sans doute rapidement rejoint par Billie pour leur soirée pizza du jeudi soir. La nuit commençait tout juste à tomber, jeudi soir était un des rares où il ne travaillait pas et il pouvait donc en profiter pour sortir avant deux, trois heures du matin, et une petite brise s’élevait dans les petits bois environnant. Des nuages sombres texturaient un ciel houleux, et il y avait comme un début de tempête dans l’air. Rien cependant pour faire perdre le sourire du jeune homme qui en gambadaient presque sur le chemin dallé.

« Sadig Biggs ? »

Interpelé sur un ton sec, le jeune homme se retourna pour découvrir une jeune femme blonde, une petite tête moins grande que lui mais qui le fixait avec un air dur dans ses yeux d’un bleu presque acier. Malgré l’air presque menaçant de la demoiselle, il ne put s’empêcher de la détailler rapidement, et elle avait beau avoir les lèvres pincées et les mains cachées sous les pans de sa veste, il devait lui reconnaître un charme incroyable. Il ne pu empêcher un sourire charmeur de venir s’installer sur ses lèvres, et déposant sa guitare par terre, il mit ses mains dans ses poches.

« Lui-même. Ai-je l’honneur de savoir qui me demande ? »

La jeune femme eut un bref sourire, et secoua la tête.

« Non, pas du tout. »

Et avant que Sadig eut le temps de réagir, la jeune femme était à cheval sur lui, le maintenant au sol. Un peu assommé par le choc du béton contre sa tête, le jeune homme secoua la tête et regarda la jeune femme, qui maintenait un couteau contre sa gorge.

« Oh je vois… »

La jeune femme serra les dents, et eut un air étonné devant le détachement de Sadig. Mais elle eut l’air carrément estomaquée lorsqu’elle l’entendit rire. Un craquement plus tard, et le jeune homme était accôté contre le muret de béton, tout près, et riait toujours. Dans ses mains, il faisait sauter un porte-monnaie. La jeune femme se releva rapidement, furieuse.

« Vous devriez savoir mademoiselle… »

Il jeta un coup d’œil au porte-monnaie, et sourit de nouveau.

« Mademoiselle Jersey Wyngarden, que je ne m'étends jamais avec les jeunes femmes sans savoir avant tout leur prénom. »

Il rigola de son jeu de mots, et haussa les épaules.

« D’habitude, nous n’essayons pas de se tuer non plus, mais c’est au choix, je suis un garçon très ouvert. »

Alors que Jersey le regardait, toujours furieuse, les bras croisés sur la poitrine, Sadig lui lança son porte-monnaie et s’approcha d’elle avec un sourire.

« Meilleure chance la prochaine fois, je présume. »

Il la regarda, de haut en bas, et eut de nouveau un sourire charmeur.

« Je vous attendrais avec impatience ! »

Il tourna les talons, aucunement inquiet d’une attaque par surprise, convaincu d’avoir figé la jeune femme pour un instant, et ramassant sa guitare, il se remit à marcher, en chantonnant. Deux, trois mètres plus loin, un claquement se fit entendre, et Jersey constata avec fureur que sa proie s’était éclipsée.

À plusieurs centaines de mètres de là, Sadig se matérialisa dans le salon où Billie hurlait en écoutant un match de soccer. Elle se retourna en criant toujours, et constata que son ami était particulièrement décoiffé.

« Tu t’es battu avec ton séchoir, c’est pour cela que tu es en retard pour notre souper ? »
« Non, en fait, j’ai fais une rencontre que je qualifierais de sauvage… et très intéressante. »
« Oh, épargne-moi. »

• Quel est le pouvoir de votre personnage ? Et depuis quand a t-il découvert qu'il avait cette capacité ? Il dormait, mais malgré son sommeil profond et les quelques résidus de rêves qui venaient le faire sourire ou grimacer, Sadig entendait parfaitement les sanglots de sa mère. Il les entendait comme s'il était dans la même pièce qu'elle. Il entreouvrit un oeil pour s'appercevoir qu'en effet, il se trouvait dans le salon, où sa mère, dos à lui, sanglotait. Il pensait s'être endormit dans sa chambre, mais à peine âgé de neuf ans, il ne s'affola pas plus que ça de se découvrir miraculeusement dans le salon, et alla consoler sa mère, qui elle, n'était pas du tout surprise de le voir. Séchant bien vite ses larmes, Mary Biggs avait pris son fils sur ses genoux, et lui avait expliqué que son chagrin était de la faute de son père, qui encore une fois, était partit sans rien dire. Elle l'embrassa sur le bout du nez, et l'envoya au lit. Déçu d'une réponse si imcomplète, le jeune homme traîna néanmoins des pieds jusqu'à sa chambre, et se jeta dans son lit. Pourtant, quelques secondes plus tard, il entendait de nouveau sa mère qui pleurait, et lorsqu'il se redressa avec un sursaut, il se trouvait de nouveau dans le salon. Sadig a le don de se téléporter, et ce, sur des distances immenses, don qu'il a développé avec des années de pratique. Son père était un sorcier, et sa femme, qui l'aimait beaucoup, elle, n'était qu'une humaine, et bien qu'elle soit au courant de la magie, n'était pas informée de l'existence de la Craving Hunt, et se torturait à voir son mari s'enfuir sans donner plus d'explications pour revenir deux jours plus tard. C'est en voyant souffrir sa mère autant que le jeune homme décida de ne pas faire vivre cette peine à quelqu'un, peu importe le sacrifice que ça lui coûtait. Pour en revenir au don, il se téléporte donc sur des distances immenses, en une seconde à peine, et peut transporter des objets avec lui. Néanmoins, s'il n'est pas bien concentré, il se téléporte à peine quelques mètres plus loin, et il a longtemps dû travailler pour ne pas s'affaler par terre en atterissant.
• Quelle est son opinion personnelle vis-à-vis des agents de la Craving Hunt ? Contrairement à la très grande majorité des sorciers, Sadig en a peu à faire de la Craving Hunt. Il n'est pas du genre à juger un individu à cause du groupe dont il fait partit, et ça ne lui ressemblerait pas du tout de déclarer qu'il déteste tous les agents. Certes, ils sont envoyés pour le tuer, ce qui ne facilicite pas les rapports, mais le jeune homme est convaincu du bon fond de certain d'entre eux, et évite les attaques tout en se moquant gentiment, sans jamais se montrer méchant. Certes, il a cette opinion car la CH n'a jamais attaqué une personne qui lui est chère, mais il doit avouer que si jamais elle venait à lui enlever Billie, Samuel, Kendal, n'importe qui, il ne serait pas toujours aussi tolérant. Néanmoins, pour l'instant, il ne juge pas comme un ensemble, mais essaie d'apprendre à connaître les agents individuellement, si ceux-ci lui permette.